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Cours en ligne
puce Face à l'accaparement des terres dans le monde, des outils d'analyse au service de l'action
Proposé par AGTER en partenariat avec la CMAT

AGTER et la Convergence malienne contre l’accaparement des terres (CMAT) proposent à nouveau ensemble une session en français du cours en ligne consacré à l’analyse des accaparements de terres et à l’échange d’expériences de luttes pour y faire face.

Ce cours s’adresse aux membres d’organisations paysannes et de la société civile, aux professionnel.le.s du développement, aux chercheurs et chercheuses, journalistes, étudiant.e.s et toutes personnes intéressées.

Il réunira notamment des membres de la Convergence globale des luttes pour la terre, l’eau et les semences paysannes en Afrique de l’Ouest (CLGTE-OA) qui approfondiront ensemble leur réflexion sur des cas et des actions dans lesquels ils.elles sont engagé.e.s.


Session en français du 21 novembre au 17 décembre 2022. Dépôt des candidatures avant le 13 novembre 2022
PDF - 148.3 ko
Présentation cours en ligne nov-dec 2022
Word - 276.5 ko
Formulaire de candidature cours en ligne nov-dec 2022

Pour télécharger la présentation du cours et le formulaire de candidature, cliquez sur leurs icônes ci-contre.

La proposition en quelques mots

Ce cours réunit deux éléments propices au renforcement des personnes et des organisations dans leur action face à l’accaparement des terres :
- des contenus pédagogiques fruit d’un travail d’analyse de longue date sur les problèmes fonciers et leurs enjeux dans le monde réalisé par le réseau d’AGTER et ses partenaires, proposés sous la forme d’exemples, outils d’analyse et mises en perspective,
- un échange structuré d’expériences amenées par les participant.e.s au cours issues de nombreux pays.

Pendant quatre semaines (trois semaines thématiques et une semaine de finalisation des études de cas), ces dernier.e.s vont plus loin ensemble dans l’analyse des cas qui les mobilisent au quotidien et la réflexion sur les réponses à y apporter. Ils bâtissent de nouvelles alliances et développent leurs stratégies.

Le cours est ouvert à un public diversifié d’acteurs et actrices des luttes contre l’accaparement des terres, d’ONG d’appui à ces luttes, de chercheurs, de journalistes, d’acteurs du développement...

Cette prochaine session est co-organisée par AGTER et la CMAT. Elle permettra à nouveau de réunir parmi ses participant.e.s des membres de la Convergence Globale des Luttes pour la Terre, l’Eau et les semences paysannes en Afrique de l’Ouest (CGLTE-OA) qui présenteront et approfondiront ensemble leur réflexion sur des cas et des actions dans lesquels ils.elles sont engagé.e.s.

À l’issue de la formation, les études de cas créées serviront à la sensibilisation, la mobilisation et la formation d’autres personnes dans le but de renforcer les collectifs d’action locale et élargie pour y faire face.

Pourquoi ce cours ?

Depuis le milieu des années 2000, l’intérêt des entreprises, des opérateurs financiers ainsi que de certains États pour les terres agricoles s’est considérablement accru. Leur prise de contrôle des terres se fait très souvent au détriment des populations qui y habitent ou qui en retirent des ressources indispensables à leur survie et qui les occupent depuis des générations. Leurs droits coutumiers sont souvent ignorés. En outre, les systèmes de production mis en œuvre sur les immenses surfaces obtenues – qui s’élèvent à des milliers voire des dizaines (ou parfois même des centaines) de milliers d’hectares par opération – sont loin d’être conformes aux besoins les plus pressants des habitants des pays qui accueillent ces mal nommés « grands investissements », à savoir la sécurité alimentaire, la durabilité environnementale et le maintien de l’emploi en milieu rural.

Dans certains contextes, la concentration des terres et des ressources par quelques personnes ou entreprises peut s’opérer sans violence apparente par le biais d’achats, de locations, d’héritages, etc., sous le fard d’un « commun accord » entre les parties. Mais ces processus contribuent souvent au développement des inégalités et ne permettent pas de satisfaire l’intérêt général.

Le cours traitera ces deux grandes situations d’accaparement, avec ou sans violation apparente des droits des populations. Les participants discuteront, sur la base de ces analyses, de possibles réponses et propositions d’actions.

Origine du cours

L’association AGTER travaille depuis 2009 sur la problématique des accaparements de terres dans le monde. L’association et ses membres ont réalisé de nombreuses études sur ce sujet, et valorisé leurs connaissances dans de nombreux articles, des conférences et des formations universitaires dans différents pays (voir le site de ressources documentaires agter.org). Un élargissement de leur diffusion était appelé par des personnes intéressées du fait de leur pratique professionnelle dans le domaine du développement (institutions publiques nationales ou internationales, ONG, consultants) ou au sein d’organisations paysannes ou d’organisations de la société civile.

Une première session a été proposée dans le cadre de la préparation du Forum Mondial sur l’Accès à la Terre qui s’est tenu à Valencia en mars 2016, à l’initiative d’AGTER et du CERAI (www.landaccessforum.org). Organisée par AGTER en collaboration avec l’ONG MODOP et grâce à un appui financier de la Fondation Charles Léopold Mayer pour le progrès de l’homme. Elle a réuni 25 participant.e.s francophones de 15 pays d’Afrique, d’Amérique latine & Caraïbes et d’Europe.
Devant le succès de ce premier cours et le nombre de demandes d’inscription très supérieur au nombre de places disponibles, AGTER a décidé, en collaboration avec le CERAI et avec l’appui de International Land Coalition (ILC), de le mettre à jour pour le proposer à nouveau en 2020, cette fois en plusieurs langues (français, anglais et espagnol), aux membres de l’ILC, aux partenaires d’AGTER et à tous les acteurs intéressés.
AGTER propose désormais chaque année de nouvelles sessions qu’elle organise le plus souvent avec des partenaires pour contribuer à en faire bénéficier à de nouveaux réseaux, intégrer des exemples plus adaptés à chaque groupe de participant.e.s et faire progresser les analyses présentées.

Partenariat avec la CMAT

La session de novembre-décembre 2021 bénéficiera de l’implication directe de la Convergence Malienne contre l’Accaparement des Terres qui partagera avec les participant.e.s son expérience à travers la présentation d’exemples dans le support de cours, à l’occasion des visio-conférences hebdomadaires et dans le cadre de l’accompagnement des travaux participant.e.s.
La convergence est un regroupement d’organisations de mouvements sociaux maliens qui a pour but de lutter contre toute forme d’accaparement des terres y compris les ressources naturelles.
Elle est composée de cinq organisations faîtières à savoir l’AOPP, la CAD Mali, la CNOP, l’UACDDDD et la LJDH.

Ses objectifs sont :

• « Permettre aux victimes d’expropriations, de déguerpissements, d’accaparement de terres, de savoir et faire prévaloir leurs droits ;
• Faire arrêter légalement et légitimement toutes formes d’expulsions et d’expropriation par la violation des droits (droits humains, droits à l’alimentation…) ;
• Exiger une réparation de préjudices tant matériel qu’immatériel ;
• Créer des cadres structurés ou non rendant opérationnel toutes actions en lien avec les objectifs de la Convergence entre autres une clinique juridique. »
Elle œuvre depuis sa mise en place en 2012.

Le cours est également articulé au processus d’échanges d’expériences et renforcement mutuel du Forum mondial des Luttes pour la terre et les ressources naturelles, qui a été lancé en mai 2021.

Publics

Ce cours s’adresse aux personnes concernées, de près ou de loin, dans leur quotidien ou dans leur vie professionnelle, par des situations d’accaparement de terres. Il cherche à réunir des acteurs d’origines variées pour échanger leurs expériences ou connaissance de cas d’accaparement et d’actions pour y faire face, qu’ils.elles sont invité.e.s à présenter à travers le cadre d’analyse proposé. Ce qui constitue un gage supplémentaire de renforcement des capacités d’analyse et d’action des participant.e.s.

Cette formation a été conçue pour un public large, principalement des membres des organisations paysannes et de la société civile, des professionnels du développement (ONG, ministères, agences de développement, consultants indépendants...), ainsi que des chercheurs, des étudiants et des journalistes.

Si les sessions sont systématiquement proposées aux organisations membres de la International Land Coalition, aux personnes et organisations qui avaient signé l’appel à l’organiser le Forum Mondial sur l’Accès à la Terre en 2016 à Valencia (Espagne) et aux participant.e.s au Forum des luttes pour la terre les ressources naturelles, elles sont ouvertes à toutes les personnes (et organisations) intéressées.

Prérequis

1. Pouvoir consacrer 10 heures par semaine au cours.
2. Avoir accès à une connexion internet pour participer à un à deux visio-forums par semaine, se connecter à la plate-forme de cours ou recevoir et envoyer des documents en format .doc et .pdf et des commentaires et questions par email.

Qu’allez-vous apprendre et comment allez-vous apprendre ?

L’objectif central du cours est de fournir des outils pour l’analyse des situations d’accaparement de terres au service de l’action. Ces outils ont été conçus à la suite de l’examen des diverses formes prises par ce phénomène dans le monde et des réponses variées qui y sont apportées. Ils permettent d’appréhender à la fois les spécificités de chaque cas particulier et leurs caractéristiques communes. Ils facilitent également la conception d’actions conjointes et les coalitions entre acteurs et organisations mobilisées face à des accaparements distincts, avec des organisations qui agissent sur un terrain politique et juridique allant au-delà du cas particulier.

Le cours constitue un espace d’échange qui permet de partager les points de vue des participant.e.s qui ne sont pas là pour apprendre de façon passive (en écoutant des conférences magistrales comme c’est souvent le cas dans les formations à distance). Ils travaillent au contraire en dialogue avec l’équipe pédagogique et entre eux, lors de visio-forums, au travers de chats (sur la plate-forme de cours et groupes Whatsapp), tout au long des 4 semaines de cours. Ils apportent, à partir de leur expérience, leur propre contribution aux autres apprenant.e.s. Ils doivent mobiliser les outils d’analyse qui ont été présentés pour décrire une situation qu’ils connaissent ou qui les intéresse particulièrement.

AGTER et la CMAT veilleront par la suite à ce que ces apports bénéficient à d’autes. Des études de cas que les participant.e.s auront construites pourront être, avec leur accord, intégrées dans de nouvelles sessions du cours, sur le Fonds documentaire dédié à la gouvernance des ressources naturelles développé par AGTER et ses partenaires (agter.org), et sur le site de la CMAT.

Le cours est dispensé sur une durée d’un mois. Il se compose de 3 modules d’une semaine chacun consacrés respectivement à comprendre, analyser et répondre aux accaparements de terre, puis d’une séquence d’une semaine dévolue à la finalisation tutorée des études de cas :

Module I : Comprendre… ce qu’on appelle les accaparements de terre, comment on les définit, quelle est leur Histoire, sous quelles formes ils se manifestent, et ce qu’ils représentent aujourd’hui.

Module II : Analyser… la logique économique qui est à la base des appropriations de terre à grande échelle, porter un regard critique sur les justifications qui sont avancées par leurs promoteurs, en analysant leurs impacts sur les paysanneries et sur les pays, comparer les performances socio-économiques des différentes formes de production agricole.

Module III : Répondre… aux accaparements en identifiant et analysant les diverses formes de résistance possibles, en interrogeant des actrices et acteurs engagé.e.s dans l’action, en discutant les conditions de leur succès ou de leurs échecs.

• Pendant la quatrième et dernière semaine du cours, les participant.e.s – toujours suivi.e.s par les animateurs et animatrices de la formation – disposeront de temps pour terminer le travail personnel proposé durant les 3 semaines précédentes et poursuivre l’échange d’expériences et de points de vue.

Modalités de formation

Le cours est dispensé en ligne via la plateforme pédagogique Moodle d’AGTER cours.agter.net et des échanges mails et whatsapp. Les participant.e.s sont régulièrement réuni.e.s lors de visio-conférences.

Chaque semaine, sont proposés :

• le support de cours hebdomadaire qui expose des analyses structurées illustrées par de nombreuses études de cas, avec la possibilité d‘approfondir certaines notions par la lecture d’encadrés et des orientations bibliographiques. Il est consultable au choix sur la plate-forme et/ou en pdf ;

• Des exercices qui permettent d’appliquer les analyses fournies à un cas d’accaparement de terres de votre choix ou pour approfondir une notion introduite dans le cours ;

• Des forums de discussion autour des différents aspects abordés dans le cours ;

Deux visio-conférences dont une en présence d’intervenant.e.s invité.e.s pour approfondir la thématique de la semaine, et une autres entre participant.e.s pour avancer dans l’analyse de leur cas d’étude.

L’équipe chargée de l’animation du cours encourage les échanges et accompagne la réalisation des exercices et études de cas. Elle réalise la synthèse des visio-conférences hebdomadaires. Elle est en permanence à l’écoute des participant.e.s.

À la fin du cours, chacun.e remplit une fiche d’évaluation du cours. Les observations recueillies sont utilisées pour améliorer le mécanisme de formation lors des sessions ultérieures.

Un certificat est remis par les responsables du cours à chaque participant.e ayant suivi l’ensemble de la formation.

Personnes ressources

La version initiale du cours a été élaborée en 2015 par Samir El Ouaamari, alors chargé de mission d’AGTER et aujourd’hui Maître de conférences à l’école d’ingénieurs agronomes AgroParisTech.

Il a été mis à jour en 2020 par Michel Merlet (ingénieur agronome, co-fondateur d’AGTER qu’il a dirigée jusqu’en 2020) et Mathieu Perdriault (agroéconomiste et analyste politique, Coordinateur d’AGTER depuis 2020).

Le cours est assuré par des membres d’AGTER ou d’organisations partenaires ayant une longue expérience de travail sur les questions foncières dans le monde.

Le cours en français proposé en novembre 2022 sera animé par :
Mathieu Perdriault, Coordinateur d’AGTER, agroéconomiste, analyste politique et facilitateur de processus multi-acteurs et de propositions dans le domaine de la gouvernance des ressources naturelles (à ce titre a notamment été secrétaire exécutif du Forum mondial sur l’accès à la terre FMAT2016 et coordinateur du Forum des Luttes pour la Terre FLT) ;
Massa Koné, Secrétaire Général de l’Union des Association et Coalitions pour la Défense des Droits des Démunis et de Déguerpis, (UACDDDD), Porte-parole de la Convergence Malienne contre l’Accaparement des Terres (CMAT) et de la Convergence Globale des Luttes pour la Terre, l’Eau et les semences paysannes en Afrique de l’Ouest (CGLTE-OA).

Des expert.e.s spécifiques invité.e.s partageront leurs analyses lors de visio-conférences et s’associeront pour certain.e.s à l’accompagnement de participant.e.s dans la réalisation de leurs études de cas :

- Robert Levesque, président d’AGTER, ancien directeur du bureau d’étude Terres d’Europe – SCAFR du réseau des Sociétés d’Aménagement Foncier et d’Etablissement Rural (SAFER), spécialiste des processus de concentration foncière et d’accaparement des terres en Europe.
- Quentin Grislain, Géographe, Chercheur au Centre International de Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD - UMR ART-Dev), qui a participé aux travaux du Land Matrix pour le recensement de cas d’accaparements dans le monde et impliqué dans le mise en place de plusieurs observatoires du foncier en Afrique de l’Ouest
- Lucie-Fatouma Sanou, experte indépendante, spécialiste de l’analyse comparée des performances socio-économiques des systèmes de production agricole qu’elle a, par exemple, appliqué au front pionnier cacaoyer en Côte d’Ivoire.
et d’autres en attente de confirmation.

Frais d’inscription et dispositif de bourses

Ce cours fait partie d’un dispositif permanent de formation dont la mise en place a reçu le concours financier de la International Land Coalition (ILC).
Cette offre de formation à but non lucratif doit cependant parvenir à autofinancer le temps de travail nécessaire à la dispense de chaque cours et à la conception de cours sur de nouvelles thématiques. Elle implique donc des frais d’inscription.

Afin de bénéficier avant tout aux personnes dont les conditions fondamentales d’existence dépendent de l’utilisation des terres et des ressources naturelles, ces frais répondent à un principe de solidarité : les membres des organisations les mieux dotées financièrement (organisations gouvernementales internationales et nationales, grandes ONG, centres de recherche, etc.) se voient appliquée des frais d’inscription qui permettent à des membres d’organisations moins dotées de disposer de bourses partielles ou intégrales.

Les frais d’inscription à ce cours s’élèvent à 1 500 euros par personne.

Les bourses sont destinées principalement aux membres des organisations de la société civile des pays du Sud, aux membres des organisations paysannes et aux étudiant.e.s.

Pour le cours en français de novembre – décembre 2022, les montants des frais d’inscription et bourses seront les suivants selon la nature des organisations :

• Grandes ONG « du Nord », Centres de recherche, administrations publiques… : 1500 euros,
• Grandes ONG « du Sud », grandes organisations paysannes : net à payer : 1 000 euros. La bourse couvre donc un tiers des frais d’inscription, soit 500 Euros,
• Petites ONG, ou candidat.e.s individuel.le.s : Net à payer : 750 euros. La bourse couvre donc la moitié des frais d’inscription, soit 750 euros,
• Très petites ONG, ou candidat.e.s individuel.le.s disposant de peu de ressources : Net à payer : 500 euros. La bourse couvre les deux tiers des frais d’inscription, soit 1000 euros.
• Organisations ou candidat.e.s individuel.le.s ne disposant d’aucune ressource : Net à payer : 0 euros. La bourse couvre l’intégralité des frais d’inscription, soit 1 500 euros.

Pour avoir accès à ces bourses, il est nécessaire de remplir le formulaire de candidature téléchargeable depuis son icône en haut et bas de cette page.

Le comité de sélection déterminera sur la base des informations fournies le montant final de la bourse auquel le ou la candidat.e pourra avoir accès.

La sélection des participant.e.s sera réalisée selon des critères variés : intérêt de l’organisation qui les envoie pour le sujet traité, apports en lien avec leur expérience susceptibles de contribuer à enrichir les échanges lors du cours, intérêt et motivation personnelle.

Le nombre de places est limité à 25 participant.e.s afin d’assurer un encadrement pédagogique optimum. Toutes les candidatures ne seront donc pas retenues. Les candidat.e.s non sélectionné.e.s pourront de nouveau faire une demande pour participer à la session suivante du cours, qui aura lieu approximativement 6 mois plus tard.

Dates du cours - Date limite d’inscription

Ce prochain cours en français aura lieu du 21 novembre au 17 décembre 2022.

Remplissez et envoyez le formulaire de candidature téléchargeable ci-dessous au plus tard le 13 novembre 2022 à l’adresse électronique suivante : formation-en-ligne@agter.org

Word - 276.5 ko
Formulaire de candidature cours en ligne nov-dec 2022

Vous recevrez une réponse définitive concernant le montant de la bourse qui vous est attribuée, le montant du reste à payer et l’acceptation de votre inscription au plus tard le 16 novembre 2022.

Télécharger cette présentation :

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Présentation cours en ligne nov-dec 2022

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