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Dans cet entretien, Monique Chemillier Gendreau explique les limites du système actuel des Nations Unies et la nécessité de mettre en place un nouveau mécanisme mondial de sécurité collectif. >>> Lire l´article en entier...
Ce document de la FAO constitue un développement des précédents travaux sur le développement territorial participatif et négocié (DTPN) et l’amélioration de l’égalité de genre dans les questions territoriales (IGETI). L’approche écologique du développement territorial négocié (GreeNTD) met en évidence la pertinence accrue de la recherche d’un équilibre entre les sphères sociale, économique et écologique dans notre vie quotidienne. Le document complet est disponible uniquement en anglais. >>> Lire l´article en entier...
Ce document propose des réponses concrètes aux défis suivants : améliorer la confiance entre les acteurs sociaux, renforcer la cohésion sociale et promouvoir un développement territorial systémique. Paolo Groppo a coordonné les travaux de la FAO sur ce thème pendant des années. Il est membre d´AGTER. >>> Lire l´article en entier...
Un livre en accès libre écrit par des chercheurs d’AgroParisTech et publié par les Ed. QUAE qui part de l’étude d’une douzaine de situations locales contrastées en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud-Est et qui explique pourquoi les différents groupes d’agriculteurs ont une inégale capacité d’adaptation. Plusieurs membres d’AGTER ont dirigé ou participé à ces travaux. >>> Lire l´article en entier...
Joël Cabalion, maître de conférence en sociologie et anthropologie à l’Université de Tours, associé au Centre d’Etudes Inde-Asie du Sud (CEIAS) analyse dans cet entretien réalisé par Coline Sauzion les liens entre déplacements forcés, luttes sociales / politiques et évolution des sociétés rurales en Inde. >>> Lire l´article en entier...
Une intéressante note de synthèse rédigée à partir de l’atelier organisé conjointement par le CIRAD, le GRET et les Amis de la Terre, les 17 et 18 juin 2013 à Nogent sur Marne. >>> Lire l´article en entier...
Contributions de la 3e table ronde de l’atelier sur la séquestration du carbone et le foncier, organisé par le Comité Technique Foncier et Développement et l’initiative 4 pour 1000 (4‰) avec l’appui de la Banque Mondiale. Paris, 13 et 14 décembre 2017. L’initiative 4‰ ne doit pas se limiter à une somme de petits projets, elle a un caractère transcendant en ce qu’elle reconnaît la nature de commun mondial qu’ont les sols. Les implications au niveau de l’analyse foncière sont considérables : 1/ la propriété exclusive et absolue du sol n’est pas compatible avec la reconnaissance de celui-ci comme commun mondial, nécessaire à la survie de l’humanité. Il faut trouver les moyens de faire respecter les droits de l’humanité en rapport avec la fixation du carbone. 2/ la reconnaissance de droits à des collectivités pour que puissent se mettre en place des systèmes de gouvernance aux différentes échelles, locale, régionale, nationale, plurinationales, mondiale. Cela passe par des moyens qui peuvent être variés, fiscalité, interdictions de certaines pratiques, régulation des différents marchés, etc. L’initiative 4‰ doit permettre de contribuer à l’évaluation des politiques, et d’aller vers des mesures contraignantes pour tout ce qui concerne la gouvernance du foncier et des ressources naturelles et le climat. >>> Lire l´article en entier...
L’enjeu aux XIXe et XXe siècles est celui du contrôle des communautés dont la terre est la base matérielle : contrôler, segmenter, partager puis privatiser ce qui était commun et faisait l’objet de pactes et de contrats entre les tribus et à l’intérieur des tribus, entre clans et familles élargies, et entre individus. L’enjeu aujourd’hui est économique. L’expansion des marchés a changé la donne. Ces terres font l’objet de convoitises pour leur mise en valeur. (...). Les États qui avaient une attitude bienveillante vis-à-vis des communautés rurales optent aujourd’hui pour les investisseurs privés. L’on assiste à la rupture d’un consensus historique entre les États et les communautés rurales ... >>> Lire l´article en entier...
Regards croisés sur la gestion communautaire des forêts au Cameroun et au Guatemala, une étude menée par AGTER avec des organisations de petits exploitants forestiers de ces deux pays. Les analyses et les leçons de 3 ans de travail. >>> Lire l´article en entier...
Comment créer ou renforcer les capacités des habitants pour la gouvernance collective des ressources communes ? Le regard et les réflexions de l’ancien sous-directeur de l’Association des Communautés Forestières du Peten (ACOFOP - Guatemala), après un voyage d’étude dans les forêts du Cameroun organisé par AGTER. >>> Lire l´article en entier...
Suite au voyage d’études dans les forêts du Cameroun organisé par AGTER auquel il a pris part, l’ancien sous-directeur de l’association de foresterie communautaire du Guatemala (Ut’z Che’) démasque ici l’omnipotence d’un droit de propriété unique et absolu qui nie l’existence de droits multiples. Tant au Guatemala qu’au Cameroun, ce sont les instances de gouvernance locales et territoriales qu’il faut renforcer ou créer si elles n’existent pas. >>> Lire l´article en entier...
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Alors que les sols font traditionnellement figure de grands absents des politiques publiques, ils suscitent un intérêt croissant ces derniers mois. La FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) a décidé de proclamer 2015 comme étant l’année internationale des sols, et ils sont aujourd’hui au centre d’une initiative lancée par la France et combinant deux thématiques à l’actualité majeure : l’agriculture et le climat. Le secteur agricole est l’un des principaux secteurs (...) >>> Lire l´article en entier...
Dans le cadre des négociations internationales visant à réduire les émissions de CO2 et à lutter contre le réchauffement climatique, la gestion des espaces forestiers de la planète se trouve souvent au cœur des débats.
Le protocole de Kyoto incite les pays développés (pays dits « de l’annexe 1 ») qui ont pris des engagements contraignants en termes de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre à préserver ou à accroître leurs forêts. D’autre part, ces pays (et les industries nationales associées) (...) >>> Lire l´article en entier...
Alors que la demande mondiale de poissons et de produits de la mer augmente, la pêche de capture est confrontée à une diminution des stocks de poissons sauvages. Les États côtiers, en particulier les pays développés, ont conduit de mauvaises politiques de gestion et de préservation de la ressource. Les poissons et produits de la mer sont pourtant l’une des principales sources de protéines animales pour les populations des zones côtières et la pêche artisanale concourt à la souveraineté alimentaire de (...) >>> Lire l´article en entier...
Les produits de la pêche sont une importante source de protéines animales pour les populations côtières des pays en voie de développement. La pêche et plus précisément la pêche artisanale sont indissociables de la notion de souveraineté alimentaire. La souveraineté alimentaire entend, en particulier, garantir le droit des peuples à accéder aux ressources naturelles. Dans le contexte actuel, de libéralisation des échanges et de pénurie des ressources halieutiques, ce droit est mis à mal.
La pêche (...) >>> Lire l´article en entier...
Cet article fait le point sur les principales transformations qui ont eu lieu au cours des dernières décennies au niveau des droits d’accès, de la gestion des ressources et de la conduite de la pêche.
Au sortir de la seconde guerre mondiale, le secteur des pêches connaît un essor considérable. La pêche de capture industrielle s’intensifie en même temps que les techniques de pêche se développent : grands chalutiers, sonars détecteurs de poissons, équipements de pêche de plus en plus sophistiqués. Les (...) >>> Lire l´article en entier...
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Depuis plusieurs années, la pêche est confrontée à une crise sans précédent due à l’épuisement progressif des stocks de poissons et à la dégradation de l’environnement. La productivité commerciale des océans se trouve à son plus bas niveau ; 75% des plus importantes zones de pêche du monde sont surexploitées. Partout dans le monde, tant les écosystèmes marins comme les populations souffrent les conséquences de la pêche non durable.
La diminution des ressources halieutiques risque de s’aggraver car on assiste (...) >>> Lire l´article en entier...
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